Dahniel Harcen Scott

Vous l'aurez compris moi c'est Dahniel Harcen Scott mais tout le monde m’appelle Dahn. Je suis né(e) le 21/06/1992 à Toronto au Canada, j'ai donc 22 ans. Aujourd'hui je suis étudiant en architecture mais ma passion reste voler les riches pour donner aux pauvres, me déguiser, grimper, charmer les gentes demoiselles et mon symbole Canadien préféré est le caribou. Je suis un éternel célibataire, un éternel amoureux de l'amour et cela me convient parfaitement. Je suis plutôt attiré(e) par les femmes, en général. Bien que j'ai une tendance assez étrange à attirer les garçons.. La minute ? Pour moi la minute c'est le moment le plus merveilleux de la journée, l'instant où tout est possible, où tout est imaginable. Le moment où mes desseins se réalisent avec une précision effroyable. L'heure du crime, l'heure parfaite. J'ai entendu dire que je ressemblais comme deux gouttes d'eau à Dylan hot O'Brien. J'ai d'ailleurs trouvé ses photos sur bazzart, tumblr et weheartit






Dans la vraie vie moi c'est léah alias absolem. et j'ai dieciocho años . Je suis tombé(e) sur 24H01 grâce à la pub que faisait Delphinoumamourdemoi sur Facebook ♥ et je trouve qu'il est très beau au niveau du design, mais le bijou reste le contexte unique en son genre, ce qui m'a vraiment plu dans ce forum. En moyenne je suis dispo 4/7 jours et j'aimerai rajouter que ça va envoyer du pâté ! TEAM O'BRIEN ♥.

Code:

Dylan O'Brien [color=#DB3F3F]▲[/color] Dahniel H. Scott

 

Une minute pour se faire la malle

I found you in the darkest hours ∞ Une ombre qui s'avance, délicatement. Qui se fond dans la masse grouillante et survoltée. Les basses envoient des ondes électriques et entêtantes, qui s'invitent dans votre esprit pour ne plus le quitter. Les lumières sont un instant aveuglantes, poussées à l'extrême. Et quelques secondes plus tard, elles se font tamisées, langoureuses. Aussi réconfortantes que les flammes qui dansent dans l'âtre de la cheminée. Deux pupilles sont actives, scrutatrices. La moindre fenêtre, la moindre porte. La sortie avant l'entrée, tout est une question de survie. Et alors qu'il pose un pied dans l'énorme bâtisse, son sourire creuse un pli au coin de sa bouche. Il se glisse entre les corps qui se meuvent sur la piste de danse, il attrape un verre, s'immerge dans la situation présente. Il n'est qu'un adolescent invité dans une soirée clandestine, prêt à s'amuser pour les prochaines heures. On lui propose un sachet rempli de poudre, il refuse, avant de s'éclipser majestueusement. Il lâche quelques œillades, s'accroche quelques instants contre des courbes féminines, avant de disparaître à nouveau. Un feu follet, un brin de vent, une bise légère. Et lorsque tout le monde est emporté par la folie, par l'ivresse et l'excitation, personne ne remarque la haute stature qui monte les escaliers, dans l'obscurité.

Quelques mouvements soigneusement étudiés, quelques tours de manivelle, un regard vers l'arrière. Un sac en toile est lancé à travers la fenêtre. Un complice est une arme toujours efficace contre l'ennemi. Deux âmes qui se confient l'une à l'autre. Envers et contre tous. Une peinture est illuminée par la flamme d'une bougie. Des traits délicats peints dans un atelier vieillot et poussiéreux, si il se laisse imaginer des choses. Il pose une main aux longs doigts arachnéens sur la toile, repasse les moulures dorées du cadre sous la pulpe de sa peau. « C'est un faux. Je choisirais plutôt l'argenterie dans l'armoire, si j'étais toi. Après, ce n'est que mon avis, hein... » Un glapissement de stupeur. Pris sur le fait. Plus aucun mouvement n'est essayé. Peut-être que l'ombre peut le dissimuler encore un peu, le temps qu'il approche de la fenêtre. « Je t'offre quelque chose à boire ? J'ai une excellente Piña Colada préparée par un ami portoricain dans le frigo, qui n'attend plus que nous ! » La fugace impression d'être entré dans neuvième dimension. Harcen Hood n'avait jamais été pris sur le lieu de son crime. Nouveauté plutôt étrange et imprévue au bataillon. Dahniel était devenu Harcen à l'âge de douze ans. Quand il avait compris que l'on pouvait manipuler les autres avec quelques éléments minutieusement choisis, avec quelques sourires, en passant incognito. Après s'est battu dans la rue pour survivre, parce que l'orphelinat était un enfer duquel il s'échappait aussi souvent que possible. Parce qu'il avait trop souvent été enfermé, dans cette cave sombre et puante, à grelotter de la température glaciale. Parce qu'il avait trop enduré les sarcasmes de la propriétaire, les méchancetés de cette voix sourde et vicieuse. Il avait commencé à chaparder dans les rues, comme un pickpocket en herbe. Réussissant à charmer les dames, les personnes âgées, assez longtemps pour entrer une petite main dans les poches les plus accessibles. Entrant dans les cafés, prétextant une envie soudaine pour voler autant qu'il le pouvait. Parce que c'était la dure loi de la vie. Parce qu'il en avait toujours été ainsi. Et qu'il avait des projets d'envergure, maintenant. Pour réussir à bien son plan. Pour éviter aux autres, ce qu'il avait subi, lui.

I found you in the pouring rain ∞ Grosses masses vaporeuses, grisâtres et légères. Qui se déplacent silencieusement, gracieusement, au gré du vent. Qui n'annoncent pourtant pas la bonne nouvelle. Qui présagent d'un orage, tout en restant vague sur le moment fatidique. Une silhouette qui se déplace toujours aussi silencieusement, bonnet vissé sur la tête. Quelques mèches qui dépassent et viennent caresser le bout d'un nez pointu. Une paire de lunettes à monture noire, qui renforcent une image studieuse et calme. Un regard mordoré qui scrute les environs, au rythme de sa marche silencieuse. Un éclat brillant qui attire inéluctablement son oeil et fait se pencher son visage. Et boum. Le choc. Qui secoue son corps. Rejeté en arrière, il n'a le temps que de noter une masse de boucles blondes. « Je suis vraiment... » Il relève la tête, étourdi. Pose son regard sur un autre, noisette. Chaud. Inquisiteur. « ...désolé. » Un visage. Ce visage. Qui crie sa rage après l'envol rapide et vif du voleur. Celle qui se proclame ennemie numéro un d'Harcen Hood. Son enfer personnel. Son diable tentateur. Combien de fois ne se sont-ils pas retrouvés, seuls, dans une pièce close ? À tourner autour d'une table, à sauter au-dessus d'un canapé pour échapper à l'autre. À lancer des livres sur la cible pour s'enfuir le plus rapidement possible. Et ces discussions sans queue ni tête, où surviennent promesses d'arrestations et surnoms dégoulinants d'affection. Il met sa main au feu quand il s'approche un peu trop de son joli minois. Quand il souffle dans son cou, attrape ses poignets et les serre dans son dos. Se proclamant maître du jeu pour quelques minutes. Murmurant quelques mots dans son oreille. La faisant cracher et jurer qu'elle mettra la main sur lui. Parce que mettre Harcen Hood sous les verrous, c'est la clé de sa carrière dans la police. Mais il ne lui laissera jamais ce plaisir. Il est vraiment trop amusé par la situation. « C'est moi, je regardais ailleurs. Tu es nouveau ici ? Ton visage me dit quelque chose. » Un sourire presque mécanique plisse les coins de sa bouche. La fossette caractéristique qui apparaît prestement. Jouer finement, délicatement. Tourner sept fois sa langue avant de parler. Peser ses mots. Il frotte sa nuque, mimant la gêne. « Je viens d'arriver, en effet. Mais je découvre la ville, tous les jours. Je me promène souvent par ici, nous nous sommes certainement croisés sans le savoir... ? Vous connaissez de bons endroits aux alentours, agent...Dawson ? Je n'ai pas encore eu le temps de tout regarder. » Le regard accroché à cette frimousse délicate, si volontaire. Tout en connaissant la véritable identité, le véritable visage. « C'est tellement grand ici, je n'ai pas encore eu le temps de tout visiter. » S'amusant de l'interlocutrice, faisant mine d'écouter attentivement les indications. Le regard encore et toujours tourné vers l'insigne de police. Une recrue si prometteuse, vu son jeune âge. Et la perspective de jeux encore plus pétillants, encore plus dangereux. Il s'en lécherait presque les babines. Mais il attendit patiemment que sa rencontre se termine poliment avant de pouvoir le faire. Il avait hâte de leur prochain rendez-vous hebdomadaire. L'agent Dawson allait devoir composer avec Dahniel Scott ET Harcen Hood. Trop instable, trop fragile. Mais si excitant.  

Tu es de la famille.

Bravo ma caille, t'as passé l'étape la plus chiante dans le monde du rp !
Petit mot de celle qui valide : comment j'adore ta plume my godness c'est juste énorme franchement :smurf:j'ai hâte de rpotter avec toi, te prendre la main dans le sac et descendre des teilles de whisky ensemble

Tu peux vérifier dans le bottin si ton petit chou est bien recensé ! L'étape suivante est l'étape des liens et autres demandes bah ouais, avoir un job, un toit sur la tête et des amis, c'est le principal non ? Tu peux aussi aller prendre des selfies aux oscars ou poster des photos de ta bouffe et ton chat sur instagram. Formspring est aussi une bonne manière de se faire des amis - ou ennemis hein -
N'oublie pas d'aller titiller les petits cupcakes sur la P.A pour nous aider à monter dans les top sites et faire découvrir 24h01 - ils adorent qu'on les touche - :smurf:Pour terminer tu peux te rendre dans le flood pour te dépenser un peu, papoter et t'amuser avec nous, parce qu'on aime ne pas être sérieux franchement ! Ah et la Chatbox c'est passage obligatoire si tu veux te faire aimer par Captain Awesome et Syrup Pocket (aka les deux admins qui ont fait ce texte de malade). Sinon,
dragibus et choucroute, on t'aime putain !