Pita Rafaela Nùñez

Vous l'aurez compris moi c'est Pita R. Nùñez mais tout le monde m’appelle Pita. Je suis né(e) le 15/10/1987 à Barcelone en Espagne, j'ai donc 26 ans. Aujourd'hui je suis fraîchement diplômée en design d'espace et recherche du boulot mais ma passion reste la danse et mon symbole Canadien préféré est le caribou. Je suis célibataire et mon ancien compagnon m'a retiré ma fille et cela me pèse. Je suis plutôt attiré(e) par les hommes. La minute ? Pour moi la minute c'est une échappatoire, une douce illusion qui me donne l'impression de vivre encore la vie que j'avais avant. J'ai entendu dire que je ressemblais comme deux gouttes d'eau à Naya Rivera. J'ai d'ailleurs trouvé ses photos sur http://nayariveraissofuckingperfect.tumblr.com/






Dans la vraie vie moi c'est MaryAtomic et j'ai 19 ans. Je suis tombé(e) sur 24H01par un groupe Facebook et je trouve qu'il est magnifique et vraiment original. En moyenne je suis dispo 5/7 jours Et j'aimerai rajouter que je suis secrètement éleveuse de licornes.

Code:

Naya Rivera [color=#DB3F3F]▲[/color] Pita R. Nùñez

 

Une minute pour se faire la malle

L'amour d'une mère est inconditionnel, condition irréfragable au don de naissance. Les mères qui n'aiment pas leurs enfants n'ont sur terre plus d'occupations dignes de ce nom, si ce n'est traîner leurs carcasses insipides. Et celles qui ont perdu leurs enfants connaissent la plus grande souffrance que l'être humain puisse connaître. Doux fruit de ses entrailles enlevé à l'étreinte maternel. C'est dur d'être mère, surtout quand on est jeune et que son enfant est le fruit illégitime d'un adultère. Pita en a connu des commères, des doigts pointés dans l'ombre et des chuchotements indiscrets, mais rien ne pouvait l'atteindre quand chez elle, le regard pétillant de vie de sa petite l'attendait. "Elle est un peu jeune pour être mère !" "Il paraît que le père ne veut pas de l'enfant !" "Moi j'ai entendu dire que le père trompait sa femme avec elle." Des racontars encore et toujours, rien de bien important pour la jeune Espagnole qui s'était faite une raison.

A vingt-trois ans, elle était maman de la petite Shae qui entrait dans son quatorzième mois. C'était un magnifique bébé, la fierté de la famille Núñez. Malgré les maigres moyens de la jeune mère, agrémentés ci et là de quelques donations du père, le bébé n'avait manqué de rien, et surtout pas d'amour. C'était une vie assez bancale pour Pita; se cacher pour voir son amant, attendre indéfiniment qu'il quitte sa femme pour s'occuper de cette autre famille comme il le promettait, travailler un black pour se faire des sous, suivre à distance des études... Une vie animée, mais heureuse. Pourquoi ce genre d'histoire n'a pas de fin heureuse ? Pourquoi du jour au lendemain tout bascule si vite ? Les gens honnêtes ne peuvent plus vivre tranquillement.

La passion finit toujours par faner. La raison avait fini par rattraper la jeune femme. Vingt-trois ans, voilà un âge pour prendre vraiment son envol. Elle avait voulu le quitter, simplement lui dire qu'elle ne pouvait pas continuer ainsi, à vivre de mystères et d'indécision, surtout depuis que la vie d'un enfant dépendait d'elle. Mais on ne quitte pas aussi facilement un riche entrepreneur, égoïste et infidèle. On ne peut pas simplement partir sans se retrouver avec des avocats et les services sociaux sur le dos. Car voilà que du jour au lendemain, ce père en plein déni avait décidé de s'occuper de ce bébé. L'ego blessé, il n'avait pas voulu laisser la belle s'en aller sans la lui faire regretter amèrement. C'est comme ça qu'on finit par se retrouver avec l'étiquette "instable" collée sur le front.

Dans sa fureur égoïste, il avait récupéré Shae. Il avait décidé que Pita était incapable de s'en occuper, et quand on est riche, chaque décision est acquise. Elle n'était pas suffisamment solvable, ne gagnait pas sa vie honnêtement, et on avait même mis dans la balance des clichés osés d'elle-même, qu'elle avait accepté de prendre pour se faire de l'argent. Ils étaient venus lui arracher le bébé, lui prendre la seule chose qui la faisait tenir debout. Pita, cette force vivante de la nature, s'était effondrée sur le coup. Partie, la petite Shae... et disparue à jamais la jeune femme pleine d'enthousiaste.



Chaque souvenir lui déchire le coeur. Elle se rappelle encore de la période sombre qu'elle avait vécu, errant dans la ville pour trouver un allié, criant sur tous les toits à quel point tout cela était injuste. Le coeur brisé, la raison envolée, elle avait lentement sombré dans la dépression. Pita n'était plus qu'un éclat de verre d'une bouteille lâchement jetée sur la route. Elle avait tant aimé, et tout perdu. La perte était facteur de folie. La démence avait lentement refermé ses griffes sur la jeune Espagnole. Vingt-trois ans, et elle n'avait plus rien. Elle se rappelle à quel point ça avait été dur, les nuits cauchemardesques, les appels au secours sans réponse... Elle s'était trouvée au bord de l'internement, une ombre prête à sauter de n'importe quel toit d'immeubles.
Pendant des mois, elle n'avait pas eu de nouvelles. Elle avait harcelé les services sociaux, écorché les murs de tous les cabinets d'avocat, perdu de l'argent dans des tentatives ratées de récupérer sa fille. Personne n'avait rien pu faire pour elle. Les racontars mesquins s'étaient transformés en regards plein de pitié. Et qu'est-ce qu'elle avait pu mépriser cette pitié...

Son inanité spirituelle avait duré deux longues années. Elle avait lentement guéri, grâce au soutien de sa famille. Elle avait finalement continué ses études en design d'espace, où elle se débrouillait plutôt bien. Forcée à nombres de thérapies, elle avait finalement trouvé un exutoire à sa dépression grâce à la danse. Du classique au hip hop, elle avait usé les parquets dans l'espoir de se retrouver physiquement et mentalement. L'ouragan qu'elle était avait fini par de nouveau reprendre forme. Peu à peu, elle avait repris vie.

Pita est une survivante. Une femme mordante qui aime la vie malgré
épreuves. Si elle est aujourd'hui à Toronto, c'est pour retrouver son droit au bonheur, récupérer sa fille. Elle avait finalement pu apprendre que son ancien amant s'y était installé avec sa famille, mais aussi avec Shae.
 

Tu es de la famille.

Bravo ma caille, t'as passé l'étape la plus chiante dans le monde du rp !
Petit mot de celle qui valide : Mon dieu je suis fan de ta plume, j'ai dévoré ton texte vraiment vite tant j'ai adoré ta façon d'écrire, franchement je veux absolument rpotter avec toi ma caille, je veux le meilleur lien du monde bref t'es une superbe découverte, ton personnage est énorme, j'ai vraiment envie d'en savoir plus

Tu peux vérifier dans le bottin si ton petit chou est bien recensé ! L'étape suivante est l'étape des liens et autres demandes bah ouais, avoir un job, un toit sur la tête et des amis, c'est le principal non ? Tu peux aussi aller prendre des selfies aux oscars ou poster des photos de ta bouffe et ton chat sur instagram. Formspring est aussi une bonne manière de se faire des amis - ou ennemis hein -
N'oublie pas d'aller titiller les petits cupcakes sur la P.A pour nous aider à monter dans les top sites et faire découvrir 24h01 - ils adorent qu'on les touche - :smurf:Pour terminer tu peux te rendre dans le flood pour te dépenser un peu, papoter et t'amuser avec nous, parce qu'on aime ne pas être sérieux franchement ! Ah et la Chatbox c'est passage obligatoire si tu veux te faire aimer par Captain Awesome et Syrup Pocket (aka les deux admins qui ont fait ce texte de malade). Sinon,
dragibus et choucroute, on t'aime putain !