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 « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥

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Dahniel H. Scott
Dahniel H. Scott



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MessageSujet: « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥   « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥ EmptySam 26 Avr - 8:54


Mads P. & Dahn S.
steal, stole, stolen

« Cassy ? Je suis en route. Oui oui, je ne fais pas long ! Pour qui me prenez-vous, mademoiselle O'Hara ? Hm. Je préfère. Je suis là dans un quart d'heure tout au plus. À tout de suite. » Les femmes, ces créatures exigeantes et capricieuses. Et encore, vous ne partagez pas votre vie avec la plus cinglée d'entre elles. Rousse et machiavélique. Courez pour vos vies. Une démarche silencieuse, discrète, rapide. Écouteurs dans les oreilles, il virevolte de ruelle en ruelle, passant ci et là. Une ombre que l'on ne remarque pas, dont on n'imprimera jamais le visage. Trop quelconque. Trop banal. Rien de très fascinant, à proprement parler. Et pourtant, vous ne retrouverez plus la montre soigneusement déposée dans votre poche, le collier pourtant fermement bien attaché autour de votre cou, le portefeuilles malmené dans votre sac. Ils auront disparus, avec lui. Et vous ne les reverrez plus, malheureusement. Il aurait fallu observer plus précisément, les gestes aussi légers qu'invisibles. La réflexion quant aux réactions à observer, quant aux actions à commettre pour ne pas être dévoilé. Tout est méticuleusement étudié, comme toujours. Rien n'est laissé au hasard, car beaucoup de choses en dépendent. C'est avec plusieurs pensées en tête qu'il agit contre la loi, pour aider les autres à survivre. Parce qu'on ne l'a pas aidé, lui. On l'a jeté sans ménagement dans la fausse aux crocodiles, le laissant là-bas, avec pour seule consigne de sauver sa peau. Constamment. Échapper aux cris, à cette cave lugubre, aux autres. Rapiner, tous les jours, pour subvenir à ses besoins et à ceux de son amie. Réduire son enfance à néant, en quelques années. Tout ça à cause de quoi ? De deux êtres qui n'ont pas été capables d'assumer leurs gestes, pas capable d'accepter une autre vie que la leur, abandonnant leur enfant avant même d'avoir esquissé un lien avec eux. Une bien amère description de ce qui était son existence, avant. Et pourtant, il n'avait jamais oublié d'où il venait, c'est ce qui faisait sa force.

Chinatown. Le quartier asiatique de la ville. Une immense portion de rues, d'immeubles, de bouis-bouis parfumés. L'odeur de la nourriture chinoise faisait amplement saliver les touristes. Nems, rouleaux de printemps, nouilles, soupes épicées. Une explosion gustative pour les papilles. De nombreuses échoppes de souvenirs, avec les Lucky Cats qui saluent incessamment les clients. Un fourmillement d'êtres humains qui s'éparpillent et se retrouvent dans les ruelles. Une vie qui ne s'arrête jamais, illuminée le soir par des néons fluorescents. On s'y perd, on s'y confronte, on s'y plaît, on s'y sent étroit. Tout est possible dans cet immense marché aux saveurs de l'Asie. Il était apprécié à sa juste valeur.

Le soleil avait déjà commencé sa descente infernale dans le ciel. L'air s'humidifiait légèrement, le brise s'insinuait sous les voilages de certains magasins. La silhouette continuait son avancée avec une vivacité certaine. Il ne fallait réellement pas contrarier sa rouquine de complice, sous peine de subir une vengeance sans équivalent. Mais il ne pouvait que sourire en sentant les objets métalliques dans le creux de sa main. Tournant au coin d'un immeuble gris et sale, il percute quelque chose de costaud. Quelques secondes plus tard, des excuses se font entendre et l'autre continue son chemin. Le garçon hausse un sourcil, lève les yeux vers le ciel nuageux et repart. Mais c'est quand il replace ses mains dans le cocon chaud de ses poches qu'il se stoppe net. « L'enfoiré. » Demi-tour. Trois, deux un. C'est parti. Il enclenche le mode d'action et se met à courir. Le salopard. Un autre pickpocket, c'est certain. Petit profiteur. Il refait le chemin en sens inverse. Aperçoit la haute stature tourner dans un autre coin. « Eh, toi là-bas ! Si je te choppe... » L'adrénaline est un courant qui traverse les veines à la vitesse de la lave en fusion. Un peu d'action. Cassidy et sa vengeance attendront. Le voleur est volé, ça ne se passera pas comme ça.

mocking jay.
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Madden Petersen
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MessageSujet: Re: « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥   « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥ EmptySam 26 Avr - 17:18



STEAL, STOLE, STOLEN - dahn & mads

Il ne s'agit pas d'une filature. Il n'a pas choisi sa cible pour une raison précise. Ce n'est qu'un hasard, un malheureux -ou heureux- hasard. Parce qu'au moment où il passait par là, à l'instant où il a relevé le regard, il a remarqué cet adolescent. L'alignement était parfait, la foule, véritable couverture vivante, se pressait autour d'eux, entravait leurs mouvements, mais les dissimulait également. Le hasard a donc voulu qu'il percute violemment ce jeune garçon, qu'il glisse furtivement une main dans sa poche et qu'il en retire un butin dont il ne pouvait décemment pas soupçonner l'importance. Un « Excusez-moi » plus tard, le voilà qui s'éloigne, les manches pleines de trésors de grande valeur qu'il fait habillement glisser dans le creux de la poche gauche de son blouson, dont il remonte avec précautions la fermeture éclaire : pas question de laisser son revenu de la soirée s'échapper. Sa journée aurait pu s'achever ainsi, sur cette notre positive. Malheureusement pour lui, alors qu'il tourne au coin d'une rue et jette un regard par-dessus son épaule, pour assurer qu'il n'est pas suivi, il repère dans la foule, courant à sa poursuite, en l'interpellant, le gamin qu'il vient de dépouiller de ses biens. « Merde ! » Il se met à courir à son tour.

Il ne doit pas se laisser rattraper. Inspiration, expiration. S'il est bien une chose qu'il a apprise, en plus de dix ans de pratique, c'est qu'il faut gérer sa respiration, surtout quand le sprint semble s'éterniser. Malgré ses tripes nouées par l'envie de parvenir à fuir, il ne peut se retenir de sourire. Les courses-poursuites sont toute sa vie et il est encore suffisamment jeune pour ne pas jeter l'éponge au premier obstacle. Il serre les doigts, s'incline en avant et accélère la cadence. Il va si vite que la capuche qu'il avait sur la tête glisse le long de son crâne, dévoilant aux yeux de tous son visage. « Poussez-vous ! » Il joue des coudes, se met de profil pour glisser son buste entre les passants, saute par-dessus un chien tenu en laisse par une vieille dame. Il ne veut pas s'arrêter. Il refuse de s'arrêter. Il tourne, fait des détours, se perd dans le dédale de ruelle. Il ignore s'il est encore suivi et, curiosité oblige, il se retourne légèrement pour surveiller ses arrières. Le garçon est encore là, il tient bon, quoique, il semble commencer à fatiguer, tout comme lui d'ailleurs. Soudain, une grande rue, brillante, magnifique. Il court, perpendiculaire au trottoir et se précipite sur la route, sans même regarder si par ce geste il risque sa vie. Le feu pour les piétons est rouge. Il s'y engage, les poings serrés, priant pour ne pas se faire écraser. Dans son champ de vision périphérique, il distingue une voiture lancée à pleine vitesse. Il entend le crissement de ses pneus et voit son capot s'immobiliser juste devant lui. Il a eu un bon réflexe d'ailleurs, puisqu'en y appuyant la paume de sa main, il parvint à glisser par-dessus. Nul doute que s'il avait continué à courir sans réguler sa vitesse, il se serait fait percuté de plein fouet. Dans son dos, le chauffeur klaxonne pour manifester sa surprise et son mécontentement. Non, vraiment, pour une fois dans sa vie, le trentenaire a eu beaucoup de chance.

Au coin de la rue à sa droite se trouve un policier qui ne semble pas l'avoir remarqué. C'est une mauvaise nouvelle et il le sait, car sa victime alors toujours sur ses talons, risque de l'appeler en renfort. Il jure, prend sans hésitation à gauche et tourne dans une nouvelle ruelle qui empeste le poisson et les égouts. Une porte grillagée lui barre la route. Il profite de l'élan que lui confère sa vitesse pour bondir et l'escalader afin de la franchir au plus vite. Tout va très bien. Bien sûr, il commence sérieusement à s’essouffler, mais il s'en sort plutôt bien et est assez fier de sa performance. Il parvient à garder son calme. Il n'a plus qu'à se laisser tomber jusqu'au sol et… « Ah putain ! » L'atterrissage est en effet plus violent que ce qu'il avait imaginé. Mauvaise appréhension de la hauteur, erreur de calcul ou fatigue, le fait est qu'une foudroyante douleur s'abat sur cette jambe maudite dont la blessure, même après plus d'un an, ne parvient pas à cicatriser. « Bordel... Quelle poisse ! » Il serre les dents, s'immobilise quelques précieuses secondes. Ses muscles sont littéralement paralysés. Il ne tombe pas, certes, mais il titube, ralentit, perd un temps précieux. Il essaie de courir encore sur quelques mètres et débouche dans l'arrière-cour d'un restaurant laissé à l'abandon. Mais il boite désormais, alors, il sait qu'il doit se résoudre et laisser tomber. Il a perdu, il est piégé. Fait comme le rat qu'il est. Il avance jusqu'au mur du fond de la cour, il appuie sa main et fait volte-face. Le jeune homme qu'il vient de voler est là, en train d'arriver. La confrontation semble inévitable. Courbé en avant, il reprend son souffle. Sa respiration est sifflante et le long de sa tempe perle une goutte de sueur, mais s'il a chaud, c'est désormais davantage à cause de sa blessure et non plus de l'effort qu'il vient de fournir. Son cœur semble vouloir jaillir hors de sa poitrine, mais pour l'heure, c'est bien de son mollet que provient la douleur la plus insupportable.

Il relève le visage et se redresse. L'inconnu lui fait face et aucune trace du policier à ses côtés. Il le dévisage donc en silence dans un premier temps, avant de se mettre à rire, la paume d'une de ses mains plaquée contre la poche de son blouson, pleine à craquer de ce qu'il vient de dérober. « OK. OK. C'est bon. Tu as gagné. Donne-moi juste deux minutes. Deux toutes petites minutes. » Il ouvre lentement sa poche, distrait par la souffrance qu'il s'efforce de dissimuler, et par le regard de l'adolescent qu'il sent peser sur lui. Il saisit la poignée d'objets et commence à sérieusement s'interroger. Est-ce normal pour un gamin de cet âge de posséder autant de babioles diverses et variées ? Colliers, montres et un porte-feuille. Son regard suspicieux n'a de cesse de fixer l'étranger. Cette situation n'a rien de normal, il en est persuadé. Il essaie de se décoller du mur, mais serre la mâchoire et finalement ne fait que s'appuyer sur sa jambe valide, se retenant de jurer. « Tiens. » Il lance la précieuse marchandise en direction du brun -enfin, pas tout, uniquement une bonne moitié, il ne faut pas déconner non plus-, avant d'ajouter, en faisant un vague geste de la main en direction de la grande rue. « Tu peux aller... Ouais, tu peux aller chercher un flic. Si ça t'amuse. » Il esquisse un sourire et appuie l'arrière de son crâne contre le mur. Au moins, il a évité le terrible point de côté. « J'n'ai pas l'intention de me sauver de toute façon. » En fait, si. Dès que le jeune homme s'éloignera, il tentera de filer. Du moins aussi loin que sa jambe usée le lui permettra. Au fond, la douleur n'est que dans sa tête, pas vrai ?
(c) Bloody Storm

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Dahniel H. Scott
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MessageSujet: Re: « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥   « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥ EmptyDim 27 Avr - 10:19


Mads P. & Dahn S.
steal, stole, stolen

Depuis quelques semaines, la silhouette vive et rapide s'était fait quelques réflexions. Il lui semblait que la concurrence commençait à être rude. L'art de voler dans les poches devenait de plus en plus courant. La vie se faisait plus dure, le moyen était le plus simple, le plus accessible. Cela faisait pourtant froncer ses sourcils, plisser ses lèvres en une mince ligne. Pourtant, le moment n'était vraiment pas propice à la pensée. Un  charognard de pickpocket de mes deux lui avait vidé les poches avant de s'en aller comme si de rien n'était. Et cela rendait le garçon fou de colère. Il s'était alors mis en mode de combat, pilant les freins pour partir à la poursuite du voleur. Avec la détermination farouche de réussir à l'attraper pour récupérer ses biens.

Pourtant, il n'avait jamais été aussi heureux que lorsqu'il était poursuivi. Même si dans le cas présent, il se retrouvait à la place que la police occupait à chacune de leurs rencontres. Saluer dignement tous les officiers, tirer sa révérence en solitaire et s'enfuir pour rejoindre la rouquine qui attendait déjà dans une voiture passe-partout. Parfois, la situation divergeait légèrement du plan de base et il se voyait obligé de courir pour échapper à la prison. Parce que tel était le cas. Harcen Hood était un criminel et s'il se retrouvait en prison, son but n'aurait plus aucun sens. Il ne pourrait plus terminer ce pourquoi il avait commencé. Les enfants orphelins n'auraient plus grand chose pour survivre à l'atmosphère pesant qui est celle d'un orphelinat. Son identité sera dévoilée et ce serait le chaos. Pour le moment, il se contentait de foncer à vive allure, se glissant entre les passants qui maugréent à son passage, sautillant entre les animaux tenus en laisse, traversant des ruelles adjacentes pour simplifier son chemin. « T'as intérêt à courir parce que si je t'attrape, j'te fais la misère ! » qu'il crie. Il connaît Chinatown mieux que le fond de sa poche. Il connaît les détours à effectuer pour arriver plus rapidement.

Mais au loin, une grande route. L'homme est fou, ses cheveux courts virevoltent avec le vent produit par sa course. Parce que c'est un homme d'une trentaine d'années. Qui va risquer sa vie pour s'enfuir encore plus loin, comme lui l'aurait fait. Son cœur fait une embardée quand il regarde la voiture s'arrêter miraculeusement devant le voleur, qui l'empoigne et glisse sur le capot avant de continuer son chemin. Reprenant ses esprits, il se précipite à sa suite, toujours mécontent du larcin qu'on a effectué sur sa personne. « L'enfoiré, il s'y connaît bien aussi... » Un sourire envahit son visage pendant quelques secondes. Le con. Il a tourné à gauche. Il connaît cette ruelle miteuse qui pue la poiscaille et l'immense grillage qui barre la route. Un rire presque sadique s'échappe de ses lèvres. Contournant le vieux restaurant, il emprunte la porte de service ouverte par ses soins pour échapper à la police il y a un an. Il en ressort dans l'arrière-cour, victorieux. Le voleur est là, mal en point. Il a du se boiter en redescendant, comme lui-même l'avait fait il y a douze mois.

Sa respiration est sifflante. Il est courbé en deux par l'effort et la douleur, où qu'elle soit. Puis il se redresse, laissant éclater un rire. Il est complètement cinglé. Puis il semble réfléchir, tenant la main dans la poche de sa veste. Avant de lui envoyer une bonne moitié du butin. Son sourcil brun se hausse violemment. Alors comme ça, c'est lui qui vole et c'est l'autre qui se sert dedans ? Mais vu son pathétique état, il lui laisse bien volontiers l'autre moitié. Mais l'appellation de "flic" le fait relever la tête, remettant la quincaillerie à sa place initiale. « Pourquoi appeler un flic quand on peut très bien se débrouiller tout seul ? Ils ne sont qu'une bande d'incompétents, de toute manière. » Il croise les bras, avance un peu vers le coupable. Il se demande comment ses fausses lunettes de vue ont pu tenir pendant sa course. Son bonnet est enfoncé sur sa tête, laissant échapper quelques mèches brunes. Son regard noisette est dardé sur le fautif. « Tu n'as pas l'intention de t'enfuir ? » Puis le rire s'échappe de nouveau, réel cette fois-ci. Comme si c'était possible de croire quelqu'un comme lui. Il lui semblait être le genre de pauvre mec qui s'enfuit dès la moindre occasion pour sauver sa peau. « Tu me prends pour un bleu ? Pourtant, entre voleurs, on devrait pouvoir se comprendre non ? » Puis il sort une bouteille d'eau de son sac et s'abreuve de quelques gorgées avant de refermer celle-ci et de la lancer à l'autre homme. Il n'est pas un monstre, merci bien. « Je te laisse l'autre moitié parce que je sais ce que c'est de devoir rapiner pour survivre. Et puis, tu me fais un peu pitié quand même. »

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MessageSujet: Re: « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥   « steal, stole, stolen » ѧ ft. Mads ♥ Empty

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